Inauguration de la résidence Lucie Aubrac à Saint-Denis-De-Pile
Inauguration de la résidence Lucie Aubrac à Saint-Denis-De-Pile
Publié le 9 juillet 2019
Lundi 08 juillet 2019, la ville de Saint-Denis-de-Pile et Gironde Habitat inauguraient la résidence « Lucie Aubrac », en présence de Fabienne Fonteneau, maire de Saint-Denis-de-Pile, Vice-présidente de la CALI aux transports, Renaud Laheurte, Directeur départemental des territoires et de la mer et Sigrid Monnier, directrice générale de Gironde Habitat.
Un projet adapté aux besoins locaux
Intégrée dans l’environnement urbain, la résidence Lucie Aubrac comprend 31 logements locatifs (29 collectifs en R+2 et 2 individuels, en R+1) et accueille des services de la mairie en rez-de-chaussée : le CCAS, la police municipale et le Pôle Aménagement. Deux autres espaces professionnels, en pied d’immeuble, sont en cours de commercialisation.
Confort, accessibilité et cadre de vie de qualité
Les logements ont été construits en suivant le label Habitat & Environnement millésime RT 2012 pour permettre aux résidents de réaliser d’importantes économies de charges. Les toits des immeubles collectifs sont équipés de panneaux solaires avec tuiles photovoltaïques, pour alimenter en électricité les parties communes, l’éclairage, l’ascenseur et la VMC collective en autoconsommation.
Avec la continuité de la trame paysagère et l’adaptation du projet à la topographie locale, c’est un soin exigeant qui a été apporté à la qualité du cadre de vie des nouveaux habitants. Des conteneurs semi-enterrés ont été installés pour favoriser le tri des déchets. Une expérimentation pilote vient également d’être lancée par le SMICVAL concernant le ramassage des bio-déchets en logements collectifs. Cette innovation est soutenue par une volonté écologique commune et les élus dionysiens, moteurs sur ce type d’initiative.
Un peu d’histoire…
Le nom de la résidence » Lucie Aubrac « , est en mémoire à la figure emblématique de la résistance française. Durant la 2ème guerre mondiale, Lucie Aubrac eut un rôle majeur, en organisant à plusieurs reprises l’évasion de grandes personnalités de la résistance française. A la Libération, elle profita de sa notoriété pour soutenir la cause des femmes au sein de la Ligue des Droits de l’Homme. Elle consacra le reste de sa vie à transmettre et partager les valeurs de la Résistance : fraternité, solidarité et justice.
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